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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 06:08




Cet Hiver sera froid et rude,
Mais mon coeur lui est au Printemps,
S'ouvre enfin un nouveau prélude,
D'un avenir étincelant,
Pas vraiment de raison à cela,
J'ai juste décidé d'innover,
Une envie de faire une croix,
D'en finir avec mon passé,
Quelque chose en moi s'est apaisé,
Même si tout n'est pas terminé.

Après des années de pratique,
Voilà que je change de technique,
Plus envie de me voiler la face,
Mais plutôt de trouver ma place,
Dans mon esprit autant de doutes,
Désormais je suis à l'écoute,
Du temps il va m'en falloir,
Il me faut pourtant y croire,
Faire confiance en mon instinct,
Et ne plus penser au destin.


Chacun est maître de sa vie,
Et ce n'est pas que de la poésie,
Les choses vécus dans le passé,
Peuvent nous servir à avancer,
Autant qu'à se laissé aller,
Et sur son sort s'apitoyer.

Cela fait 3 mois de ça,
Que j'exorcise cette souffrance,
Trop longtemps contenu en moi,
Un noir et sinistre silence,
Et voilà que je m'aperçois,
De la place et de l'importance,
Qu'a pris en moi toute cette violence,
Que les adultes ne voyaient pas,
Où traitaient dans l'indifférence,
Ils n'ont pas compris le combat,
Qui m'a volé mon enfance,
Ils n'ont pas compris mes et moi?
Mis sur le compte de l'adolescence,
Ils n'ont pas compris mes émois,
Ils n'ont pas vu mon errance.

Pourtant je criais au secours,
A croire qu'ils préféraient être sourds,
Alors j'ai étouffé en moi,
Jusqu'à ce que ce soit trop lourd,
Il m'a fallu faire un choix,
Trouver une issue de secours,
Tout ça n'est qu'un triste constat,
D'une petite fille en manque d'amour.

Il est leur de changer,
Il est mon heurt d'oublier,
Il est l'heure de tirer un trait.

Enfin je vide mon sac,
J'avoue que j'ai un peu le trac,
J'ai trouvé une oreille attentive,
Pour lâcher ma verve vive,
J'ai enfin trouvé les mots,
Pour me libérer de mes maux.

Car après l'avoir tant écris,
Il faut que je le dise aussi,
Que je le crie, que je le hurle,
Pour qu'hors de moi je l'expulse,
Je dois repartir à zéro,
Reconstruire mes idéaux,
Sortir de ma sinistrose,
Et distiller à petite doses,
Du positif, du constructif,
Finis les textes dépressifs,
J'aborde ce monde avec méfiance,
Mais je crois en ma délivrance...

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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 06:53



Une petite lumière luit au loin,
Il reste encore un long chemin,
Mais doucement elle se rapproche,
Désespérément je m'accroche.

Certaines personnes me tirent vers elle,
D'autres en revanche entravent ma route,
Moi je continue coûte que coûte,
Pour qu'un jour ma vie soit plus belle.

Au fil du temps et des rencontres,
J'apprends à distinguer les gens,
Qui m'aident et me pousse en avant,
Et qui sans cesse me démontrent,
Que la vie vaut bien d'être vécu,
Même si souvent elle m'a déçue.

Les autres que j'appelle vampires,
Car notre énergie ils aspirent,
Eux-même incapable d'être heureux,
Ils sèment le désordre autour d'eux,
Et profitent sans aucun scrupule,
Des gens biens mais un peu crédules.

Alors ceux-là je les évites,
Quand j'en croise un je prend la fuite,
Peut-être ne suis-je qu'une égoïste,
Où tout simplement réaliste,
Mais je ne veux plus auprès de moi,
De ceux qui me tirent vers le bas.

Je m'entoure petit à petit,
D'êtres humains bons et gentils,
Qui m'apporteront leur savoir,
Leurs quêtes et toutes leurs histoires,
Souvent bien meurtris par la vie,
Ils ont malgré tout bien compris,
Que l'important c'est d'avancer,
Avec courage et dignité,
Et de ne jamais laissé tombé.

Je leur offre un peu de mon âme,
De mon temps et de mon coeur,
Je serai là pour sécher leur larmes,
Et leur donner de ma chaleur.
Je les protégerai de mon mieux,
Et serais toujours là pour eux,
Sans rien demandé en retour,
Qu'un petit bout de leur amour,
Seul carburant pour avancé,
Dans ce monde tellement insensé.

Sur mon chemin je continue,
Promis je ne m'arrêterai plus...

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 22:39



L'une d'elle est un peu peureuse,
Une autre est une douce rêveuse,
Il y en a une qui est charmeuse,
Et une autre carrément dragueuse,
Mais aucune d'elle n'est vraiment amoureuse...

L'une d'elle cherche des repères,
Une autre voudrait un vrai père,
Il y en a une avec un fort caractère,
Et une autre qui sans cesse espère,
Mais aucune d'entre elle ne persévère...

L'une d'elle est toujours joyeuse,
Une autre est un peu menteuse,
Il y en a une qui est curieuse,
Et une autre qui sait qu'elle est chanceuse,
Mais aucune d'elle n'est vraiment heureuse...

L'une d'elle aime danser et chanter,
Une autre combat sa timidité,
Il y en a une qui voudrait se barrer,
Et une autre qui sait qu'elle doit rester,
Mais aucune d'elle ne se sent aimée...

L'une d'elle est une rebelle,
Une autre se dit demoiselle,
Il y en a une qui se sent belle,
Et une autre qui cherche l'étincelle,
Mais aucune n'est vraiment sûr d'elle...

L'une d'elle aime avoir raison,
Une autre est accro aux garçons,
Il y en a une qui est un poison,
Et une autre qui se sent en prison,
Mais aucune d'elle n'accepte de pression...

L'une d'elle est complètement folle,
Une autre veut que tout soit sous contrôle,
Il y en a une qui se croit drôle,
Et une autre qui sniffe de la colle,
Mais aucune d'elle n'a le beau rôle...

L'une d'elle a toujours le sourire,
Une autre voudrait juste mourir,
Il y en a une qui voudrait fuir,
Et une autre qui éclate de rire,
Mais aucune d'elle ne voit l'avenir...

L'une d'elle n'est en fait qu'un murmure,
Une autre trouve que la vie est dure,
Il y en a une qui se croit mûre,
Et une autre qui a une âme pure,
Mais aucune n'a vraiment de futur...

Souvent elles se tapent dessus,
Même si ça passe inaperçu,
Tour à tour elles s'emparent de moi,
Selon les gens que je côtoie,
Ce n'est pas moi qui les choisit,
Mais j'ai mon mot à dire aussi,
De temps en temps j'essaie de lutter,
Mais il m'arrive rarement de gagné,
Alors j'écoute et je compose,
Sans cesse je me métamorphose,
Ma vie est loin d'être morose,
Il ne me manque que peu de chose,
Pour que je la voie en rose...
(Pour que je fasse une overdose...)

L'une d'elle croit encore à l'amour,
Une autre pense qu'elle en a fait le tour,
Il y en a une qui tourne court,
Et une autre qui sans arrêt cours,
Mais l'une d'entre elle vaut peut-être le détour...
(Mais aucune d'elle ne vaut le détour...)
 

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 20:09



Une colère gronde,
Une colère profonde,
Contre ses créateurs,
Car une solide rancoeur,
La hante et la détruit,
Et par sa faute elle reproduit,
Ce que petite fille elle a fuit.

Enfant, trop livrée à elle-même,
Cherchant en vain que les gens l'aiment,
Elle a toujours eu plein de problèmes,
Alors elle nage en plein dilemme.

Elle est adepte de liberté,
Mais sais que pour en profité,
Des limites doivent être fixés.

Elle aime des hommes loin d'être mûr,
Avec qui construire un futur,
Rime forcément avec blessure.

Elle n'est pas une mère indulgente,
Elle est même parfois très chiante,
Et ce n'est pas que ça l'enchante.

En elle un gouffre sans nom,
Un besoin vital d'affection,
Qu'elle cherche sans fin chez les garçons.

Marquée à l'encre indélébile,
Cette demoiselle a vendu ses îles,
En croyant qu'il serait plus facile,
Et que la vie serait plus belle,
En aidant les gens autour d'elle,
Jusqu'à s'en oublier, elle.

Mais on ne peut effacer l'ardoise,
Alors lentement elle s'apprivoise,
Beaucoup de codes et de loi,
Dans sa tête le brouhaha des voix,
Des gens sur qui elle a pompé,
Leurs pensées, leurs personnalités.

Mais qui est-elle dans tout cela?
Sûrement pas celle que l'on croit,
Une femme forte, une adulte,
Qui cache au fond d'elle une inculte,
De l'amour-propre et du bien-être,
Mais experte dans le paraître.

Autour d'elle trop de mensonges,
De non-dits qui la ronge,
Une enfance envolée,
Une enfance qu'on lui a volée...

Mais elle persévère et espère,
Qu'au travers de ses vers,
Elle transformera son univers,
Et ôtera ce goût amère,
Pour entrer dans une nouvelle ère.
 

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 06:49



J'ai la bouche comme un cendrier,
Mais cela ne m'empêche pas de fumer...




Dans la nuit je me promène,
Je ne sais où mes pas m'entraînent.
Je suis mon chien qui vagabonde,
La lune me tient compagnie,
Elle se sent un peu seule aussi,
Elle nous éclaire de sa figure ronde,
Elle est une fidèle amie...

Cette nuit est calme et propice,
A contempler ma chère complice,
Elle m'hypnotise et me fascine,
Et le nez en l'air je re-dessine,
Ma vie telle que je l'envisage,
D'une beauté presque sauvage,
Comme d'hab je nage en plein mirage...

Un homme à sa fenêtre se penche,
Pour lui aussi la nuit est blanche,
Un nuage de fumée l'entoure,
Sûrement encore un que l'amour,
A négligé ou malmené,
Il est plongé dans ses pensées...

Moi je chantonne doucement,
Ma voix résonne et me rassure,
Malgré ses nombreux éraillements,
Ell est encore à peu près pure...

Je ne sais toujours pas où je vais,
Mais sans aucun doute j'y arriverais,
Demain ou un autre jour,
Je ne ferai plus demi-tour,
J'avance et regarde droit devant,
Sans savoir ce qui m'attend,
Peut-être bonheur et joie,
Peut-être horreur et effroi.

Ça me donne un peu le vertige,
Car même si c'est moi qui dirige,
Je ne suis pas maître des éléments,
Qui peuvent changer à tout moment,
Mais cela fait partie du jeu,
Chacun essaie de faire de son mieux,
Dans ce tourbillon qu'est la vie,
Moi je l'aime et je lui souris.




J'ai la bouche comme un cendrier,
Mais je continue à fumer... 



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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 02:47

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Il m'a conquise,
J'en suis surprise,
Depuis je ne dis plus que des bêtises...

Mon coeur s'envole
Il caracole,
Regardez, ça y est il décolle!

L'amour en tête,
Telle une fête,
Mais pourtant je ne suis pas prête...

Nouvelle histoire,
A la passoire,
Tous ces sentiments si noirs!

Je    pars     en      vrille,
Je      me     mutile,
Sans     lui     je    me    sens    si    fragile...

Mais    c'est     en     vain,
Que     je    le     retiens,
Sans lui je ne suis plus rien!

Il veut des enfants,
Il veut une maman,
Tout cela ici et maintenant...

Mais pas question,
Plus de prison,
Sinon je perds la raison!


Toutes    ces    ratures,
Toutes    ces    fêlures,
En    moi    une    immense    blessure...

Il      ne     m'aime     plus,
Tout     est     foutu,
Et     me    revoila    à    la   rue!

Dans     cette    mélasse,
Je    me    fracasse,
Je    n'arrive    plus    à     faire    face...

Je suis soumise,
Ça me défrise,
Pourvu que je sois reprise!

Maintenant je picole,
Et je m'isole,
Et sûrement, je me désole...

Je me répète,
Et j'interprète,
Je reprends le goût des conquêtes!

Je n'ai plus d'espoir,
Je peux plus y croire,
Tout est gravé dans ma mémoire...

Moi petite fille,
Moi si futile,
De nouveau je maquille Cécile!

Tel un refrain,
Sans faim, sans fin,
Mais que seront mes lendemains...

Mon tempérament,
M'ont t'en perds, amants,
Je me reconstruit lentement!

Nouvelle mission,
Même chanson,
Pourquoi ce sentiment profond...

Je    me    suis   tue,
Je    ne    veux    plus,
Mais    quand    il    appel,   je    me    rue!

Telle     une    pétasse,
Je    reste    de    glace,
Devant    tous    ces    hommes    qui    passent...

Je    me    rassure,
Je    me    murmure,
Que    ce    sont    tous    des     raclures!

Je perds prise,
Et je m'enlise,
Je tape une putain de crise...




Ma course folle,

Je l'extrapole,

Car     bien     sur    tout   est    sous    contrôle!

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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 03:19




Dans ses bras, je me sens bien.
Pourtant d'amour il n'y a point.

On ne parle pas la même langue,
Mais on aime les entremêler,
On a du mal à se comprendre,
C'est parfois un peu compliqué.

On s'est rencontré par hasard,
Mon chien lui a sauté dessus,
On a eu envie de se revoir,
Une fois par semaine, pas plus.

C'est un bel homme romantique,
Pas pour autant mélancolique,
Entre nous c'est assez ludique,
Français-Hongrois, faut de la pratique!
Et malgré des débuts catastrophiques,
Au lit c'est devenu orgasmique!

Chucky est un fin limier,
Car cet homme vraiment il me plaît,
Mais il ne m'empêche pas de penser,
A mon ptit motard bien-aimé!

Dois-je écouter ma raison,
Qui me dit de faire attention,
Que pour une fois que j'ai un mec bien,
Je ne dois pas tout gâcher pour rien.

Ma passion fait un peu la tête,
Elle veut du suspens, de l'action,
Elle n'aime pas les histoires parfaites,
Elle veut de la science-fiction!

Moi je suis prise entre les deux,
Je ne sais pas quel est le mieux,
Ma tête et mon coeur se dispute,
Alors moi je leur dis ZUT!

Je suis à l'écoute de mes désirs,
Et puis j'imagine l'avenir,
Avec cet homme qui me fait rire,
Mais qui peut-être va repartir...

La patience n'est pas une de mes qualités,
Mais pour une fois je vais essayé,
Et puis après tout qui sais?
C'est peut-être lui que j'attendais...
   

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 15:13




Je voudrai tant pour mes petits loups,
Une vie joyeuse et sans tabous,
Ou l'innocence et l'insouciance,
Effacerai toute cette violence,
De ce monde si cruel,
Et que leur vie soit des plus belles.

Je ne suis pas dans l'illusion,
Je n'ai pas perdu la raison,
C'est juste que je ne comprend pas,
Cette vie à chié n'est pas pour moi.

Comment peut-on sciemment,
Leur voler impunément,
Leur rêves et leur désirs,
Pour qu'un jour ils puissent devenir,
Des pions dans ce jeu d'échec,
Et qu'on les mènent à la baguette.

Sous prétexte de les éduquer,
On ne cesse de les brimer,
On n'écoute plus leurs inventions,
On les gave de productions,
Toujours plus haut, toujours plus loin,
Toujours penser au lendemain.

Que signifie Carpe diem?
Plus personne ne le sait,
C'est bien la le problème,
De ce beau monde civilisé ...

Les moins forts et les plus petits,
Auront juste droit au RMI,
Ceux qui ne sont pas très sur d'eux,
Forcément de la mauvaise graine
Passeront par l'ANPE,
Pour ensuite bosser à la chaîne,
Ils vivront leur rêves par procuration,
Merci à la télévision!
Sauf ceux qui ont de l'ambition,
Pour eux ce sera la prison.

On se plaint qu'ils foutent le bordel,
Mais que leur proposent-on de mieux,
On leur a cramé les ailes,
Et on voudrait qu'ils restent silencieux?

On leur dit "faut pas se droguer"
Mais alors comment s'évader?
De cette vie tellement morose,
Mieux vaut mourir d'une overdose,
Plutôt que de participer,
A cette comédie burlesque,
D'êtres humains désabusés,
Ou aimer est devenu grotesque.

Tout ça n'est que jolies paroles,
D'une jeune fille un peu frivole,
Qui préférerait tant être folle,
Qu'enfermé dans son triste rôle...

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 20:21

Une histoire compliqué,
Un fille un peu paumée,
Un mec pas sûr de lui,
Ca y est vous avez compris,
 C'est un peu ça ma vie!




Souvent je papillonne,
Jusqu'à ce que je trouve un homme,
Qui me fait cogité,
Voire même me poser.

Mais cela ne dure qu'un temps,
Jamais plus de 3 ans!
Je confirme les rumeurs,
Que l'amour  n'est qu'un leurre,
Il y a une date limite,
Un seuil fatidique,
Et que au-delà,
S'aimer devient un combat.

Tout est question d'époque,
Aujourd'hui l'on se moque,
Se marier, puis divorcer,
Est devenu une banalité.

S'aimer jusqu'à la mort?
Et puis quoi encore?


Comment peut-on s'enfermer,
De corps et d'esprit s'enchainer,
A une seule personne?
Jusqu'à ce que notre heure sonne,
Et alors on regrette,
Les nombreuses conquêtes,
Qu'on n'a pas osé saisir,
Et qu'avec un soupir,
On a du oublier,
Pour notre chère moitié,
Et quand tout se termine,
Il ne reste que des ruines,
Alors n'oubliez pas,
Ce petit bruit la...


Tic tac, tic tac!

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 09:08




Je voyage chaque nuit,
Au pays de l'Insomnie.

J'y fais des rencontres étranges,
Quelquefois ce sont des anges.

Ils voient la lumière allumée,
Alors ils viennent boire un café.

On parle de tout et de rien,
Souvent jusqu'au petit matin.

Ils me racontent leur boulot,
Et c'est loin d'être de tout repos!

Les gens font beaucoup de conneries,
Et mettent en péril leur vie.

L'autre jour une demoiselle,
S'est senti poussée des ailes,
Quand en s'endormant au volant,
Elle faillit mourir à 20 ans.

Ou encore ce jeune imbécile,
Fou amoureux d'une fille,
Il s'est prit pour Roméo,
La damoizelle vivant trop haut,
Il a grimpé en haut d'un arbre,
Cela aurait pu être macabre!




D'autres fois ce sont des démons,
Qui rodent autour de ma maison,.

Ils attendent que je m'endorme,
Pour que mes rêves se transforment,
En cauchemar vraiment flippant,
Alors je résiste je serre les dents!

Quand enfin m'emporte le sommeil,
Plus rien alors ne me réveille,
Mon corps avide de repos,
Me retient de me lever tôt!




J'ai quand même droit à quelques trêves,
Malheureusement bien trop brèves,
Quand je m'endors dans les bras d'un homme,
La seulement je m'abandonne,
Dans un paisible sommeil profond,
Et putain, c'est ça qu'est BON!

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Présentation

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  • : Quelques moments de ma vie en poésie, les bons, les mauvais...tout ce qui me passe par la tête!
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CE QUE VOUS VOULEZ COMPRENDRE,

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NE PAS S'ENTENDRE. 


 
Bernard Werber

Ma fil aux os phy

 

 

  

      Un but ne parait

 

  jamais

 

plus loin  

 

que lorsqu'on

 

n'essaie pas

 

de l'atteindre          

 

 

 

 

 

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