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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 22:49

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Pas que

 

Je

 

Parce que

 

Veux

 

Marque-le

 

Pas

 

D'espace

 

Jamais

 

Restreint

 

Viens!


 

 

Ne laisse un la sans rien

 

Plus qu'un pas sans demain

 

Si laid qu'il vibre

 

De ce chant

 

Si souvent

 

Délibérément


 

Invente, replante, déchante, ça rentre

 

Opère, sévère, repère, ça gère

 

Refait, replay, surfait, ça le fait!


 

 

Lalalalalalalala...

 

 

 

 

Écoute cet air irrespirable

 

Expire ce je invendable

 

Crée demain sans nier l'hier

 

 

Démène-toi...

 

Chuinte ton univers!

 

 

 

 

 

Parce que


Je



Jamais


 

Vaux


 

Mieux


 

Plus


 

Que ça


 

 

Sans rien


 

 

 


 

 

 


 


 

 

 

 

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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 23:45

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Tant de mots à dire à écrire à relire à sourire à soupire à souffrir à vieillir à maudire à médire à détruire à sortir à déglutir à pourrir à désir à rire à appesantir à amortir à offrir à mugir à... est-ce pire?

Et les questions, ritournelles, l'âme qui chancelle ou qui chante celle, que le refrain tue sans faim, un beau matin d'une nuit sans sommeil, est-ce que je veille, où m'émerveille, mais rien n'est pareil tout semble cruel sans cette belle qui se rebelle, qui se flagelle mais qui se scelle et en selle, la chevauchée sur son karma m'a épuisée car ma tour n'est-elle que brisée, pour qui à quoi, et aquabon, je nage, l'eau est trouble d'être si limpide, faut que je me décide mais je suicide l'idée dans l'oeuf, la poule méprise et vole un boeuf, insensé évidemment, car le vide ment et même sous calmant le feu brûle, aïe!

Et oui l'entaille se fait entrailles et déraille sur l'émail d'une mitraille, violente éruption d'un cul tanné par le soleil, une vie en veille qui ne dort plus mais qui l'eut cru les jeux sont cuit dit le piaf et non rien de rien, je ne regrette que tout et rien, car le mal, fatal, viscéral, bestial, libidinal et à moindre normal je choisis l'original puisque la copie me fait des faux d'organisation dans ma tête illusions, d'un moi qui se prend pour une voix mais s'est tue, oui l'amour tu le je et ne laisse pas place au nous dénoué de toute ambition pourtant trop dure est la solution, finalement rien que le mot fin me donne la dalle et j'ai pigé que rien, non rien de rien...


Et pourtant c'est un tout, c'est un fou qui me rend folle et je m'isole dans ma camisole, plus de force ni de faiblesse, rien qu'un morse et une allée, si je progresse, je n'y vois goutte, et c'est pas sans cacher bien sur, que le présent ouvre une blessure que le passé invente et que le futur guérit, mais qui, où plutôt quand, donnez-moi une prescription sentimentale, une qui fait pas mâle, une qui soigne la douleur, l'erreur, ce coeur en fureur qui se leurre et se meure et pleure et la ptite fleur...


Oui la ptite fleur du bitume, celle qui si souvent s'enrhume , qui de ses cendres toujours s'exhume et se rallume et qui de sa plume chasse la brume.


Y a tant de choses qui me laissent toute chose et quand j'implose je vous arrose de ma prose à l'eau de rose et si l'overdose n'est qu'une osmose de sens, la pitance de l'innocence n'est-elle que l'absence de créance, dans les dettes à l'amour, le taux d'intérêt est si élevé et la chute si découverte que la mise à nue ne s'accompagne pas d'embarras, là est le la qui me rend lasse, et je m'enlace de cette mélasse et je t'embrasse, ma mélancolie, je te fracasse de l'harmonie, je remplace la cacophonie par l'inertie et l'envie de passer l'impasse sans y laisser de traces...


Mais je m'égare bien sur, vous auriez l'heure siouplait monsieur?

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 00:27

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Quand un amour de vacances

Joue les prolongations

La peur devient lance

Même au coeur d'un lion

 

C'est un enfant sauvage

Qui ne sait ni lire, ni écrire

Et sur son petit nuage

Il pousse un soupir

 

Allant guidé par la voie

Mais sourd à ses désirs

Planant vidé en désarroi

Rêvant du meilleur ou pire

 

Il a la peur du cancre

Celle des murs, des chaises et des notes

Cette peur comme une tache d'encre

Autour de ses menottes

 

J'y aurais vu un pipaillon

Sans doute un effet secondaire

Douce ivresse du pas si long

Qu'il en coûte de silencieux vers

 

 

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Écrit en duo avec mon amoureux...

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 01:23

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Et quoi écrire encore?

Les mots fuient ma ve

Telle une pluie que je tenterais de retenir

Au creux de mes mains

La cascade me submerge

Et ne trouve plus de fin

Dans un style haut stylé

 

L'amour chasse-t-il l'inspiration?

Les précédents enfantaient des rimes fécondes

Mais avec lui je ne tourne plus ronde

Alors telle une première, le trac aux doigts

Je rumine les verbes qui chuchotent en moi

Et le plaisir revient, doucement se pose

Mes nouvelles émotions, mon inédite prose

 

Le sourire aux lèvres, je repousse mes limites

Et tire les phrases à ma sève, de plus en plus vite...

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 22:19

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Sur la plage désertée

Où mes pas enivrés me guident

C'est à ton sourire que je pense

 

Sur ce rocher à pic

Où j'écris ces quelques mots

C'est sans tes bras que mon coeur prend l'eau

 

Sur cette océan de bleu pastel

Où mon regard soutient le soleil

Ce sont tes yeux sombres que je cherche

 

Bien sur à l'évidence

Ta bouche n'effleure plus la mienne

Et pourtant son goût sur mes lèvres

Est plus tenace que l'embruns du matin

 

Comme une piqûre de moustique

Je gratte mes souvenirs jusqu'au sang

 

Mon esprit cruel et atteint

De folie aimante

Ne calme aucun dessein

Que j'évite, indécente car déçue

Mais malgré tout pas résignée

Car l'écho de tes je t'aime berce encore mon coeur blessé

 

Le sevrage semble stérile car comblé de manque

Et si le vers est subtil alors moi je suis poire

Et tout bas je noircis mes cils

 

Un mot de toi et je quitte ta vie

Mais si tu te tais je n'entends que la pluie

 

Une anorexie de sentiments qui s'alimente de boulimie charnelle

 

Hey dis-moi?

T'as déjà vu une mer pareil?

 

Tu es l'exemplaire unique

De l'homme imparfait

Qui me défait

Et même si illogique

Mon cerveau se délecte

Me refusant l'accès

De cette plaie qui s'infecte

 

Un mot de toi et je quitte ta vie

Mais si tu ne parle pas je n'entends que la pluie

 

Un baiser de toi et je réédite

Ma vie manuscrite

Je te confie la plume et m'ancre à ta fuite

Alors fais vite!

L'histoire attend ta suite...

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 00:54

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Et pour la connaître il faut percer

A coeur la tendresse de la pierre

Amère sucrerie douce comme une peau épaisse

Qui se tait et gémit une profonde allégresse

Mais presse! Ton âme contre la moiteur de mon paraître

 

Oublie le vecteur qui s'impatiente dans mon impasse

Car lasse, son énergie ne te consumera point

A la ligne de ce texte décousu

Se tricote une ironie sérieuse

De trop vouloir abandonner

Le chemin pas voulut

 

Un pied de nez qui se prendrait la tête

Et plierait la mesure indomptable

D'une nuit éclairée de brume aveuglante

Enchante le dégoût évite l'eau trouble 

Du puits à sec dans lequel je patauge

Et puisse le vent nettoyer mon attente

 

Jauge imprécise et déréglée

Puisque le sang ne coule plus

Les larmes se tarissent et inondent

La joue suinte et sèche sous la pluie

Aride de ces doigts qui grattent

Un piano nommé dessin

Le cri se joint

Au silence qui médite

 

Flûte!

J'aurais presque pu en faire une chanson pour me réveiller...

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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 14:31

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Unisexe voilà le défi

Supprimer un complexe

Qui vire au déni

Mal acquis?

 

Ils sont 8 où plus encore

Un piano que je couve tel un trésor

 

Mais qui tient les fils de cette marionnette?

Sans doute pas celle qui le croit...

 

Du fond du lac ou je patauge

Le soleil me cuit à 65 degrés

Je ne monte pas en grade

Pas vraiment.

 

L'estime est-elle scène?

 

L'esprit peut être plus seyant que l'habit

Et encore...

 

Vous avez compris, tout reste à prouver

Et la persévérance est à la sévérité

Ce que mon envie est à ma pulsion

Austère mais si peu alors j'attends!

 

Des images me reviennent

Comme un souvenir tendre...

Une ancienne ritournelle

 

Pourquoi fait-il si bon descendre?

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 12:34

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Fluide sanguinolent

Le long d'une jambe

Initiée à la vie

 

Que se passe-t-il?

 

Le coeur se fait entendre

Dans un bruit sourd

L'esprit et ses méandres

Frémissent un souffle court

 

Chaleur impotente

Qui alourdit son être

Elle s'allonge détendue

Mais alerte aux signes

 

Un baiser se dépose sur sa poitrine offerte

Le frisson qui la traverse n'est pas feint

 

Ses pensées s'évadent dans un univers parallèle

Où la volupté est la loi suprême

Et où s'enlacer crée une osmose régénérante

 

Une caresse, un songe

La paresse est un mensonge

Dans lequel elle se prélasse

 

Abandonnée volontaire

Suivant une route isolée

Le peu de gens qu'elle y croise

Peine à suivre son rythme endiablée

 

Une danse effrénée qui ne saoule que son coeur

D'une ivresse d'extase

 

Une perle à ses yeux trahie sa solitude

Pourtant aucune tristesse n'atténue sa quiétude

 

En son sein elle se replie et savoure l'innocence

Qu'elle poursuit de ses désirs

 

Tout ce pour quoi elle vibre

Tout ce pour quoi elle aime

Tout ce pour quoi elle fuit...

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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 22:57

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Et elle me tord l'estomac

Je me plie en deux

Sous le choc de la douleur.

 

Hormonal me direz-vous?

 

Pfff vous n'y connaissez rien,

Cette boule est verte, puante

J'en ai même honte de la décrire

Tellement l'horreur elle m'inspire

 

Et pourtant bien présente

Inutile de la nier!

 

J'ai envie de crier pour l'expulser

De casser les murs qui l'entretiennent

De mordre mon poing jusqu'aux os

Puis me calmer en léchant mes plaies

 

Voilà!

Je voudrais dire tellement de conneries

Que je vais regretter c'est garanti...

 

Tant pis!

 

Je suis plus à ça près hein?

 

Et puis quand on enterre vivant quelqu'un

Faut pas croire que tout finira bien...

 

Alors ma litanie ce soir

Extraite de ma colère noire

Sûrement possessive et possédée

Je dépose ici ma responsabilité

Et lâche mes freins de dignité

 

Trahison!

 

Voilà, le mot est écrit

Même s'il ne signifie sans doute pas grand-chose

Venant de moi

Il faut que je rende à qui je dois

 

Piétinée

L'idylle éphémère

Et toi qui me trouvais légère

Mens trop mal

Et n'assume pas d'être le premier

 

Allez je m'enfonce dans l'abîme...

 

Quand ses mains caressent ton torse

Quand sa bouche me salit la tienne

Quand elle te regarde fiévreusement

Toi qui t'enflammes dans ses sous-vêtements

Son corps parfait lance un soupir

Le tien pour elle brûle de désir

Un clin d'oeil, une peau de chatte blanche

Une complicité s'amorce

Et tu ne rêves que de ses hanches

L'histoire sera harmonieuse et sereine

Deux univers complémentaires sans gênes...

 

Finie la galère des enfants

Qui sautent sur le lit au petit matin

Finis les embrouilles de présentation

Fruit de tes mensonges par omissions

Les questionnements sans solutions

Les engagements contraignants

Le passé et les rots gênants

Les sorties du chien de bons matins

Finis les cris, les pleurs, les chieurs

Atchoum et mes sautes d'humeur

Finis les oui, les non, les peurs

Finis ce monde que tout oppose au tien

Fini les je t'aime qui ne mènent à rien...

 

Tu es libre!

 

 

J'aurais pu finir ainsi

Pleurant sur mon sort

Pathétique et esseulée

 

Mais non!

 

Je change le ton

Ça vous étonne?

 

Allez hop hop hop!

 


 

8 mois d'aventures, de délires

D'expériences exquises de désir

D'insolites étreintes et du plaisir

Esquisse d'un sourire...

Une classe découverte en terres inconnues

 

Parce que je ne suis pas si pire que ça!

Y a pas que mes boulets qui ont sciées la voie

Je suis aussi une fille de joie!

 

 

Originale et délurée

Naturelle et spontanée

Pas froid aux yeux et corps chaud

Je suis même dotée d'un cerveau

 

Toi un héros, un prince charmant

Moi un rubic's cube en diamant

Notre lutte contre vents et naufrages

Qui jamais n'aurais mis en cage

Nos deux mains

Écrivant l'avenir sur des plages

D'amour fin...

 

 

Pour que se tourne cette page

J'ai besoin d'un sourire

D'un regard qu'on partage

Comme un tendre souvenir

Qui dirait qu'on s'est aimé

Passionnément, à la bougie

 

Qu'on soufflera d'un plus du nous...

 

 

 

 

 

 

 

MA chanson du moment...;)

 

 


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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 13:12

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C'est l'histoire d'une histoire

Qui ne se raconte pas

Le récit d'une vie 

Qui ne se voit pas.

 

L'encre magique trace ses lettres invisibles

D'une voix aphone

Assourdissante

Que le temps laisse couler

Dans une cascade en chute libre

 

C'est le vent qui ne manque pas d'air


Le chemin d'une impasse

Au rond-point rectangle


Un passé qu'on ressasse

Sans jamais l'avaler

 

Pas d'erreurs, pas de doutes

Passagers d'une autoroute

Aux senteurs pétrifiées

Torpeur figée qui déroute

 

Échecs, la fille les matent

Mais de coeur éteint

Sous un soleil pluvieux

 

Morne existence

Qui fuit même son adieu

Mais réveille un train de retard

 

Alors...

 

Rien.

 

Racontez-là si ça vous chante

Récitez-là si vous l'oubliez

 

Versez des abus et des tabous

Ensuite remuez le tout

 

Buvez le breuvage une fois évaporé

Pleurez des rivières de pacotilles

 

L'or est du bois qui consume

L'essence du sourire

 

L'éclat d'un parpaing

Donne parfois à réfléchir


Demain ne date pas d'aujourd'hui.

 

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Présentation

  • : Le blog de Cecyle
  • : Quelques moments de ma vie en poésie, les bons, les mauvais...tout ce qui me passe par la tête!
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Entre CE QUE JE PENSE,

CE QUE  JE VEUX DIRE ,

CE QUE JE CROIS DIRE,

et CE QUE JE DIS,


et CE QUE VOUS VOULEZ ENTENDRE,

CE QUE VOUS ENTENDEZ,

CE QUE VOUS CROYEZ COMPRENDRE,

CE QUE VOUS VOULEZ COMPRENDRE,

ET CE QUE VOUS COMPRENEZ,

il y a au moins neuf possibilités de

NE PAS S'ENTENDRE. 


 
Bernard Werber

Ma fil aux os phy

 

 

  

      Un but ne parait

 

  jamais

 

plus loin  

 

que lorsqu'on

 

n'essaie pas

 

de l'atteindre          

 

 

 

 

 

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