Je dépense une énergie considérable
A m'interdire de penser à toi chaques minutes
Je vire au désagréable
Pour le mâle qui m'approche en rût
L'intensité de mon désespoir
M'étreint le soir jusqu'au matin
Et si je me retiens de boire
C'est que mes sanglots scient mes reins
Peut-être bien que j'exagère
Où encore l'inverse qui sait
J'ai la plume qui se veut légère
Mais l'encre est accro à l'excès
Je suis tombée en panne d'amour
Et le mécano est en congé
Pénurie d'envie sans détours
La magie qui plane est dissipée
Mais tellement indispensable!!!
Je voudrais zapper comme toujours
M'étourdir d'hommes sans ciller
Mais le fantôme de notre amour
Est pire qu'une ceinture de chasteté
Alors je soupire à mourir
Telle une Juliette sans Roméo
Prisonnière de ton souvenir
Tu restes gravé dans mes mots...
A prendre au premier millième degré...