A toi qui aime me blessé,
Toi qui voudrais me faire saigné,
Saches que désormais tes efforts sont vains,
Car toute mon âme se nettoie enfin,
De tes attaques sournoises,
Et de ton imposture,
D'une éponge sur l'ardoise,
Je guéri mes blessures.
Je dédie ces vers à ta prochaine proie,
Que tu laisseras sûrement,
Sans culpabilitée ni pitié,
Dans un grand désarroi.
Qu'elle sache simplement,
Que sous ton armure,
Se cache un homme meurtri,
Mais également fini,
D'avoir quitté son ptit nuage,
Sans réusir à tourné la page.
Et au milieu de tes mensonges,
Ton enfer se prolonge,
Tant que tu y entraîne avec toi,
La vraie victime de tes émois:
Judikaël